Déjà un an de règne
10 octobre 2021, 10 octobre 2022 ça fait un an que le vingtième roi Nabil MBOMBO NJOYA a succédé à son défunt père Ibrahim Mbombo Njoya. Un bilan élogieux pour cet homme de 29 ans qui met un accent particulier sur l’éducation et le développement économique de sa région.
« Aux âmes bien nés la valeurs n’attend point le nombre d’années ». Cet adage trouve son pesant d’or dans le règne du 20e roi de Bamoun à 29 seulement. Entre 2021 et 2022, l’actuel monarque a entrepris le développement de sa région tant sur le plan économique que sur le plan scolaire.
L’actualité est récente. A l’occasion de de la célébration du premier anniversaire de son accession au trône, le sultan-roi des Bamoun, Mouhammad-Nabil Mforifoum Mbombo NJOYA, a reçu près de 200 enfants. Ces derniers sont nés entre le 10 octobre 2021 date de son intronisation et 2022 qui portent son nom, ont reçu de nombreux cadeaux. Ce geste n’est que la continuité d’une série de dons que le roi Nabil a offerts à ses populations. Pour cette rentrée scolaire 2022, la communauté Bamoun par l’initiative du jeune roi a remis des fournitures scolaires et une aide financière à plus de 200 élèves et bacheliers. Dans le viseur du sultan Nabil, il faut donner la possibilité à chaque enfant de poursuivre son rêve.
Un accent est mis sur le développement de sa localité
Dès son intronisation le 10 octobre 2021, le produit de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM), a pour ambition de rentre la ville plus attrayante et de donner un nouveau vissage à la ville de Foumban. Pour concrétiser ses idées, le roi Nabil MBOMBO NJOYA avait reçu le Gabonais Daniel Ona ONDO président en exercice de la CEMAC au palais royal. Au cours des échanges, les deux personnalités avaient tablé sur l’important patrimoine culturel et touristique que regorge la région de l’Ouest. Ils envisagent mettre sur pied une collaboration en matière de tourisme au sein de la sous-région. C’est un vaste chantier sur lequel se lance le nouveau roi Mohamed Nabil Nforifoum Mbombo Njoya.
Par Jean Bedel Mbassi